Véhicules de mobilité urbaine (UMV)
Les principales lignes directrices de la nouvelle ordonnance sur la mobilité concernant les véhicules à mobilité urbaine (UMV) seront les suivantes :
- Classification en typologies A, B, C0, C1 et C2 :
Pour ces nouveaux types de véhicules de plus en plus fréquents dans notre ville (scooters électriques de tous types,« segways », etc.), la classification établie par la Direction générale de la circulation dans son instruction 16/V-124 est adoptée.
- L’âge minimum est de 15 ans. Il est interdit de conduire avec des écouteurs. Les types B et C doivent être munis d’une cloche, de lumières et d’éléments réfléchissants :
L’âge limite pour conduire un véhicule de mobilité personnelle sur les voies et espaces publics est de 15 ans. Les enfants de moins de 15 ans ne peuvent utiliser les véhicules de mobilité personnelle que s’ils sont adaptés à leur âge, à leur taille et à leur poids et s’ils circulent sur des itinéraires autorisés avec un guide (à partir de 10 ans) ou en dehors des zones de circulation, dans des zones fermées à la circulation, et accompagnés et sous la responsabilité de leurs parents ou tuteurs. Dans le cas du transport de personnes dans un engin homologué, les conducteurs doivent être majeurs.
Comme c’est déjà le cas pour les bicyclettes, les personnes de moins de 16 ans qui utilisent des véhicules de mobilité urbaine de type A et B (scooters électriques et Segways) doivent porter un casque.
Les MVU de type B et C doivent être équipés d’une cloche, de feux et d’éléments réfléchissants dûment homologués.
- Circulation des véhicules de mobilité urbaine : sur la chaussée de certaines rues et pistes cyclables :
En fonction des différents types de véhicules, les drones peuvent circuler sur les pistes cyclables, les rues résidentielles (limitation à 20 km/heure), les bandes et pistes cyclables protégées, les trottoirs cyclables (uniquement A et B) et sur la route (uniquement A et B). B), des pistes cyclables (uniquement A et B), des pistes cyclables (uniquement A et B), des pistes cyclables (uniquement A et B). (B) zones de coexistence 30 (B et B et B et B) zones de coexistence 30 (B et B) zones de coexistence 30 (B et B) zones de coexistence 30 (B et B) zones de coexistence 30 (B et B) zones de coexistence 30 (B et B) C), toutes les routes de moins de 30 kilomètres par heure et les pistes cyclables (C), et les parcs publics où les bicyclettes sont autorisées.
Le stationnement des scooters de mobilité de type C, plus encombrants, serait autorisé sur les bandes de stationnement de la chaussée, et les scooters de type A et B (scooters électriques et Segways) seraient autorisés sous un régime similaire à celui des vélos (réservations de vélos et de motos sur le trottoir sous certaines conditions).
- Activités économiques : assurance, casque (A et B), autorisation d’itinéraire pour les groupes jusqu’à 8 personnes plus le guide :
Les véhicules de mobilité urbaine utilisés pour des activités économiques, comme les circuits touristiques, doivent être couverts par une assurance responsabilité civile obligatoire pour les dommages éventuels causés à des tiers afin de pouvoir circuler.
En outre, le port du casque est obligatoire pour les utilisateurs des types A et B pour ces activités.
Dans ces cas, les véhicules de type A et B peuvent également circuler en groupes de 8 personnes au maximum et guider le long d’itinéraires prédéfinis avec l’autorisation préalable de la municipalité.
- Location et utilisation partagée des VMU : assurance, redéploiement, maintenance et contrôles techniques. Concession pour la couverture de la ville et l’utilisation responsable de l’espace public :
Les services de location de véhicules de mobilité urbaine et d’autopartage sont expressément réglementés. L’entreprise propriétaire des véhicules doit avoir une assurance qui couvre la responsabilité civile pour les dommages qui peuvent être causés à l’utilisateur, à d’autres personnes et à des biens, ainsi qu’aux biens municipaux.
Ils sont soumis au programme de contrôle et aux activités de maintenance préventive et corrective nécessaires par le service technique de l’exploitant, du fabricant, du distributeur ou d’un tiers autorisé.
Les services de véhicules de mobilité urbaine partagée sans base fixe seront gérés par le biais d’une concession municipale qui garantit, outre les points susmentionnés, la couverture du service dans toute la ville.
Source : Mairie de Madrid